Hôtel El Djazair ***** (Wilaya d'Alger)
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, 2 km du centre (centre-ville le plus proche) (الجزائر)
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hôtel, hébergement, lieu avec une importance historique, lieu touristique, intéressant
Hôtel El Djazaïr www.chaineeldjazair.com/
L'hôtel El-Djazaïr (anciennement Saint George) a été fondé en 1889, sur l'emplacement d'un vieux palais hispano-mauresque dont de nombreux vestiges subsistent encore. Il était surtout destiné, à l'origine, à loger avec tout le confort auquel ils étaient habitués, les amis et les invités de la bourgeoisie résidente à Alger. Il faut attendre la fin de la première guerre mondiale pour que l'établissement devienne un hôtel luxueux, ouvert à la clientèle étrangère.
Plus qu’un hôtel, El-Djazaïr est un monument historique inclus de fait au sein du patrimoine culturel de la capitale , un témoin de plusieurs époques de l’histoire de l’Algérie, où chaque coin et chaque espaces préserve les empreintes des pensionnaires prestigieux qui y ont séjourné tels que : Le Roi de Grèce, Le Duc de Vendôme, Le Baron de Rothschild, Simone de Beauvoir, le Général Dwight Eisenhower , André Gide, Henri de Montherlant, Rudyard Kipling, Francis James, Edith Piaf, Farid el Attrach, Abdelhalim Hafed…
Du Saint George à El-Djazaïr
Fondé en 1889, sur l'emplacement d'un vieux palais arabo-ottoman dont de nombreux vestiges subsistent encore.
L'hôtel El Djazaïr était destiné, à loger avec tout le confort auquel ils étaient habitués, les amis et les invités de la bourgeoisie Algéroise. A la fin de la première guerre mondiale l'établissement devient un hôtel luxueux, ouvert à la clientèle étrangère, Durant la deuxième guerre mondiale, il servit de quartier général au commandement des forces alliées.
C'est dans l'un de ses magnifiques salons que se tient, le 10 novembre 1943, la conférence Anglo-américaine pour décider de la campagne d’Italie et de l’invasion du sud de la France avec les forces alliées. Le maréchal Maitland Wilson, le général Mark Wayne Clark, et son état-major, le colonel WoodWord W. Stomberg, ainsi que plusieurs autres officiers supérieurs, y résidèrent.
Le général Eisenhower, commandant en chef des forces alliées, en fera d’ailleurs son quartier général et y résida durant 13 mois. Gravement endommagé à la suite de nombreux bombardements qu'il a subis durant les dernières années de la guerre.
L'hôtel ne rouvrira ses portes qu'en 1948, après rénovation. Il put alors, avec ses 180 chambres, reprendre ses activités et faire connaître son charme et son confort à une clientèle d'affaires et de touristes. En étant le lieu de prédilection et favori de la clientèle étrangère, l’hôtel se trouva en difficulté pour répondre à la demande en perpétuelle croissance en raison de ses capacités réduites, ce qui amena les pouvoirs publics à engager, de 1978 à 1982, une vaste opération de redéploiement visant à le réaménager pour disposer de capacités supérieures et se conformer aux nouvelles normes internationales d'hôtellerie haut de gamme tout en respectant le style et l'architecture particulière de celui-ci.
Rebaptisé "Hôtel El Djazaïr" à sa réouverture le 23 août 1982, ce dernier devient un établissement autonome régie à ce jour en société par actions.
Depuis lors, la direction s’est attelée à rehausser le standing de l'établissement et son image de marque par l'élaboration d'un plan de développement dont l'exécution est toujours d’actualité.
La chaine d’El Djazaïr comprend aujourd’hui, l’hôtel Kerdada ex Transat 4 étoiles à Boussaâda, L'hôtel Caid à Boussaâda 4 étoiles, l'hôtel Taghit à Béchar 4 étoiles et l'hôtel Gourara à Timimoun 4 étoiles.
L'hôtel El-Djazaïr (anciennement Saint George) a été fondé en 1889, sur l'emplacement d'un vieux palais hispano-mauresque dont de nombreux vestiges subsistent encore. Il était surtout destiné, à l'origine, à loger avec tout le confort auquel ils étaient habitués, les amis et les invités de la bourgeoisie résidente à Alger. Il faut attendre la fin de la première guerre mondiale pour que l'établissement devienne un hôtel luxueux, ouvert à la clientèle étrangère.
Plus qu’un hôtel, El-Djazaïr est un monument historique inclus de fait au sein du patrimoine culturel de la capitale , un témoin de plusieurs époques de l’histoire de l’Algérie, où chaque coin et chaque espaces préserve les empreintes des pensionnaires prestigieux qui y ont séjourné tels que : Le Roi de Grèce, Le Duc de Vendôme, Le Baron de Rothschild, Simone de Beauvoir, le Général Dwight Eisenhower , André Gide, Henri de Montherlant, Rudyard Kipling, Francis James, Edith Piaf, Farid el Attrach, Abdelhalim Hafed…
Du Saint George à El-Djazaïr
Fondé en 1889, sur l'emplacement d'un vieux palais arabo-ottoman dont de nombreux vestiges subsistent encore.
L'hôtel El Djazaïr était destiné, à loger avec tout le confort auquel ils étaient habitués, les amis et les invités de la bourgeoisie Algéroise. A la fin de la première guerre mondiale l'établissement devient un hôtel luxueux, ouvert à la clientèle étrangère, Durant la deuxième guerre mondiale, il servit de quartier général au commandement des forces alliées.
C'est dans l'un de ses magnifiques salons que se tient, le 10 novembre 1943, la conférence Anglo-américaine pour décider de la campagne d’Italie et de l’invasion du sud de la France avec les forces alliées. Le maréchal Maitland Wilson, le général Mark Wayne Clark, et son état-major, le colonel WoodWord W. Stomberg, ainsi que plusieurs autres officiers supérieurs, y résidèrent.
Le général Eisenhower, commandant en chef des forces alliées, en fera d’ailleurs son quartier général et y résida durant 13 mois. Gravement endommagé à la suite de nombreux bombardements qu'il a subis durant les dernières années de la guerre.
L'hôtel ne rouvrira ses portes qu'en 1948, après rénovation. Il put alors, avec ses 180 chambres, reprendre ses activités et faire connaître son charme et son confort à une clientèle d'affaires et de touristes. En étant le lieu de prédilection et favori de la clientèle étrangère, l’hôtel se trouva en difficulté pour répondre à la demande en perpétuelle croissance en raison de ses capacités réduites, ce qui amena les pouvoirs publics à engager, de 1978 à 1982, une vaste opération de redéploiement visant à le réaménager pour disposer de capacités supérieures et se conformer aux nouvelles normes internationales d'hôtellerie haut de gamme tout en respectant le style et l'architecture particulière de celui-ci.
Rebaptisé "Hôtel El Djazaïr" à sa réouverture le 23 août 1982, ce dernier devient un établissement autonome régie à ce jour en société par actions.
Depuis lors, la direction s’est attelée à rehausser le standing de l'établissement et son image de marque par l'élaboration d'un plan de développement dont l'exécution est toujours d’actualité.
La chaine d’El Djazaïr comprend aujourd’hui, l’hôtel Kerdada ex Transat 4 étoiles à Boussaâda, L'hôtel Caid à Boussaâda 4 étoiles, l'hôtel Taghit à Béchar 4 étoiles et l'hôtel Gourara à Timimoun 4 étoiles.
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